Où sont passées les bottes du père Noël - Ocarina Player
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    Où sont passées les bottes du père Noël

    Où sont passées les bottes du père Noël

    Tous les mille sept cents ans, le père Noël doit prouver qu’il est encore capable
    de distribuer les jouets aux enfants du monde. C’est comme s’il repassait son
    permis de conduire.
    C’est très difficile de circuler sur un chemin, entre les nuages, les étoiles y
    jouent à cola-maillard !!! D’année en année d’autres danger pourrait renverser
    le traîneaux, et dispatcher les jouets dans le ciel. Si cela arrivait, il n’y aurait
    plus de Noël.
    De plus, son traîneau est de plus en plus chargé. Avant les enfants recevaient
    3 mandarines et trois papillotes et ils étaient très heureux.
    Aujourd’hui, les jouets rivalisent de jalousies et les enfants ne savent plus quoi
    choisir.
    Souvent, le père Noël reçoit jusqu’à deux lettres par enfant à deux adresses
    différents, convoitant toujours les derniers jouets, vus chez la voisine d’à côte,
    à la Tv, dans une publicité.
    Bien sûr, comment ne pas admirer et garder ces belles lettres colorées.
    Dessinés de sapins majestueux où sont accrochées méticuleusement des
    petites étoiles découpées dans le papier argenté des tablettes de chocolat. Et
    tenez vous bien, depuis des milliers d’années, ses dessins n’ont pas changé.
    « C’est un espoir « dit le Père Noel » !
    Les dessins qui le représentent sont toujours aussi magnifiques avec des
    barbes très longues qui cachent, ces bottes et ses mains très difficiles à
    dessiner.
    Le père Noël est fier devant ces œuvres, qui tapissent toute sa maisonnée.
    Chaque matin, il en fait sa tournée. Il y découvre un détail nouveau. Des petits
    décors de graines de riz, pour exemple, ce qui l’envahit d’amour.
    Plus besoin de compter les jours : noël pour lui, c’est tous les jours.
    Les nains chargés de cette mission ne se donnent aucun droit à l’erreur, ils
    doivent faire plaisir à tous en respectant les listes de chaque enfants.
    De nos jours, ils possèdent un énorme ordinateur, et c’est quand même plus
    pratique. Ils peuvent faire des bilans, des prévisions d’une année à l’autre. Ils
    peuvent aussi se débarrasser des jouets plus commandés qui encombrent
    l’atelier. Ceux qui sont trop fragiles ou cassants. Ceux qui sont décevants pour
    les enfants, voir aussi les dangereux.
    Ceux qui ne sont plus commandé, deviennent des prototypes, pour une autre
    époque surtout s’ils ont su rendre heureux de nombreux enfants durant de
    nombreuses années. Ils sont installés dans les vitrines de collection du Père
    noël. Les autres brûlent dans la cheminée. C’est toujours un jour très triste
    dans l’année, les nains doivent faire des choix. Ils tentent bien d’en cacher
    sous leurs lits, dans leurs poches et leur chaussettes. Mais l’ordinateur les
    décompte et dénonce les manquants. Le plus triste pour les Nains, c’est cette
    impression de les entendre pleurer, quand les flemmes les avalent . Mais, il ne
    s’agit là, que de leur chiounement. Le père noël, n’est pas dupe, il lève les bras
    au ciel et reprend sa tournée d’inspection.

    C’est seulement la nuit de Noël, que les jouets ont le droit à la pantomime, la
    seule nuit où ils ont le droit de parler, d’utiliser leur mécanisme. Un moyen,
    pour les nains, de contrôler les anomalies. C’est le bazar dans l’atelier, les
    nains pour ce seul jour peuvent jouer, en profitent et deviennent des enfants
    turbulents !
    Mais préparer le traîneau dans ce tintamarre ? ! C’est un vrai casse-tête. Le
    père Noel doit tous faire tous seul. Le nains on bien mérité de s’amuser.
    Il est bien habiller contre le froid, mais pour atelier les rennes, il a froids au
    mains , ces doigts sont gelés. IL ne peut pas mettre ses gants, pour fermer les
    petits boucles d’orées des harnais des rennes.
    Les jouets courent de partout et jouent les uns et les autres. Ils montrent leurs
    artifices et sont sûrs d’être les plus beaux, les plus intelligents et les plus
    fantastiques, ça fini en bagarre générale dans une pagaille indescriptible.
    Le nains en profitent et organisent, un belle bataille de boules de neige, Père
    Noël en a plein la barbe !!!! Sa lui fait des petits pompons qui s’entrechoque
    accrocher jusque dans ses cheveux !!!!
    Et puis catastrophe, tous se calme, quand des jouets ne marchent pas. Il faut
    les réparer, comprendre les notices, souvent « du petit chinois », Il faut leur
    faire repasser les tests d’admissions.
    Pour certains c’est foutu. Il faut toutefois honorer les commandes coûte que
    coûte. Les nains ont des astuces. Ils remplacent ces jouets par ceux qui ont
    été le plus commandé, comme cela aucun risque l’enfant sera toujours content.
    Surpris mais content !
    Le père noël, regrette ce temps, où les enfants ne savaient pas ce qui se
    cacherait dans leurs souliers, la surprise était encore plus magique !
    Du haut de son nuage le père noël ne raterait, jamais l’ouverture des cadeaux
    par les enfants du monde. De sa longue, longue vue, il admire toutes ses
    bouilles dont les yeux s’agrandissent à en avaler l’univers.
    Il ne faut pas décevoir tous ces enfants, et réconforter les plus tristes. Pour
    cela tous les jouets préparés pour cette nuit de noël doivent présenter des
    garanties de sécurités.
    Le père noël est donc méticuleux sur la fabrication. Il préfère de loin, des
    jouets fabriqués dans son atelier.
    Mais les enfants du monde entier, sont compliqués, ils leur faut toujours celui
    qu’ils faut aller faire fabriquer de l’autre côté de leur monde.
    Le père Noel regrette la découverte du plastique ! les jouets ne sont pas assez
    solide pour lui !!!
    En plus dans son atelier, les nains fabriquent surtout de beaux jouets en bois,
    et cela les enfants n’en veulent pratiquement plus.
    C’était pratique avant, les nains fabriquaient des jouets de bois, les copeaux
    finissaient dans les cheminées, et l’atelier était parfumé de toutes les forêts du
    monde. Car pour ne pas abîmerais forêt, les mains sélectionnaient des
    échantillons d’un peut de partout dans le monde.
    Cela ne faisait pas plus de mal, que d’enlever une allumette par boite.
    A ce propos, les arbres était heureux de donner leur bois qui allaient vivre
    pendant plusieurs générations d’enfants en restant dans la même famille. Ils

    étaient cirés régulièrement et finissaient dans un musée. Une récompense
    surprenne…
    Aujourd’hui, Les nains, passent un temps fou à remplir leur mission de mise en
    carton avec des hélicoptères qu’il faut décrocher des lampadaires, des robots
    réfracteurs.
    C’était, la nuit la plus mouvementée de l’année.
    Heureusement, tous les jouets sont pressés d’appartenir à un ami, il suffit de
    leur rappeler pour qu’ils sautent au fond de leur berceau improvisés et
    enrubannés. Les papiers dorés vont les ficeler dans des rêves dorés.
    Pour les enfants tristes, ceux qui ont des vies difficiles, le Père Noël, avec la
    complicités des anges, ils leur donnent un don , le jour qu’ils le découvriront, ils
    seront heureux. Ce n’est pas simple, et c’est tout ce que le père Noel, peut
    faire.
    Dans le traîneau une fois installé, les jouets seront sages comme des images
    prêts à s’offrir pour une longue vie de jeux avec des enfants.
    Hélas « Non » ! pense le père Noël un peu vieux jeu, l » ses jouets, finissent
    très mal, et supportant beaucoup de souffrances !!!
    Leur fin, c’est la poubelle !. C’est la vie des jouets, mais leur devoir et de
    générer des rêves éternels, et juste pour cela , le père Noël, est content ! pour
    lui un enfants qui rêve sera un adultes plus heureux de vivre !
    Sur le vieux fourneau, fume, la soupe d’une grosse courge, de 6 pommes et
    quelques châtaines au safran (réveillon des nains) elle mijote dans le chaudron
    depuis plus d’une heure « ça sent très bon » , se disent les nains qui se frottent
    les nains. Il faut finir les colis. « On c’est assez amusés ».
    C’est une nuit de Noël particulière, car c’est le baptême du Renne Melchior, un
    petit Renne qui va fait pour la première fois la distribution des jouets avec le
    père Noel. Il est tout excité de ce départ. Il n’arrête pas de griffer le sol de ses
    sabots dorés pour en faire apparaître mille et une étoiles qui rejoignent les
    cieux sans demander leur reste.
    Il faut savoir qu’un an avant, au solstice de l’hiver, Il est organisé par les anges
    une course éliminatoire avec tous les jeunes Rennes à condition que leurs bois
    aient bien poussé. Ils passeront ensuite un an à se former, pour cette nuit.
    Hélas pour Melchior, ces bois n’ont jamais poussé, ils sont restés dans leurs
    écrins de fourrure, à peine visibles, prisonniers. Et chaque année il est recaler.
    Bientôt il sera trop vieux pour accompagner le Père Noël.
    Le père Noël dit que c’est un signe du destin, que sur la tête de Melchior se
    cache un secret. C’est le cadeau de dame nature, il faut que Melchior le mérite
    pour le trouver.
    Le Père Noël a donc supplié les anges de laisser le Melchior sa chance. Ses
    sabots dorés sont une preuve d’originalité qui cachent sans doute un talent
    pour la course.
    Pour certains anges, il a désobéi et il a été barboté dans le lac des lumières
    d’or, où sont baignées les étoiles qui naissent.
    « Baliverne » dit le Père noël, « nul ne sait où il est ce lac qui est bien garder
    part des anges, » Et les anges vont finalement laisser Melchior courir.

    Durant cette course sélectif , le petit Renne à été attelé comme les autres,
    d’un joli traîneau. Ses sabot luisant ont filer d’un trait, et disparue dans un
    nuage de neige distançant tous les autres rennes, époustouflé. Tous ceux qui
    se sont moquer de lui, sont rester bouche cousue !!!!! et nez dans la neige !!!
    Il a décollé comme un éclair, sans perdre son bonhomme de neige habillé en
    père noël assis au fond du traîneau, il la bien rapporter intacte ! Juste sont
    bonnet rouge, c’est perdu dans le noir. C’es gagner, le petit règne sans bois
    sera du voyage. et malgré sa différence, le père noël est sur qu il sera un plus
    dans ce long voyage, autour du monde .
    Pour Melchior fier, il est heureux d’avoir gagner la confiance de tous, il se
    promet de ne pas la gâcher !!!
    Pour le Père noël ce n’est pas une surpris, il l’à vu travailler, sans relâche,
    impossible de le faire rentrer. Les autres rênes affalés dans la paille fraîche se
    faisant masser les pieds par les nains. Ils l’ont bien critiqué. Il le pensait de
    caractère difficile, voire sauvage. Ils ne voulaient pas de lui comme ami. Ils ont
    tous changer d’avis et lui demande pardon.
    Le petit renne et tellement gentil et pas mesquin qu’il pardonne à tous le
    monde.
    Le père Noël a de l’admiration pour lui, car ce petit ne prend ombrage de rien
    du tout. Il continue sa route, travaillant dur « normal qu’il soit le meilleur, pense
    le père Noël ».
    Il a un cadeau pour lui, un bonnet avec des bois, décorer de lucioles, Melchior
    a pleuré toutes les larmes de sont corps. Il fait le tour, la tête bien haute, de
    l’assembler, qui applaudissent heureux pour lui.
    Depuis le dernier solstice de l’hiver, les Rennes sélectionnés ont travaillé une
    année. Leur professeur, un vieux renne à la retraite n’a pas laissé un pas de
    travers. Il a toujours eu confiance dans petit renne. Bien sûr il le faisait
    travailler un peu différemment, souvent la nuit, quand tous dormaient. Ainsi les
    faux pas, n’étaient pas critiquables et moquer. Les autres rennes étaient des
    ados un peu trop sûrs que leur ressemblance était du talent ?
    C’est vraie que les rennes du traîneaux doivent se ressembler pour l’harmonie
    du traîneau , « et bien tant pis » dit le père Noel , cette année Melchior sera
    atteler quelques pas seul devant tous les autres, il encourageras tous les
    autres.
    Les nains l’on décorer de grelots multicolores de pompons, et de poudre
    d’orées dans sont pelage bien peigner.
    Durant l’année passée, les rennes ont dû apprendre l’humilité, la patience,
    l’endurance. Ils ont dû être attentifs aux autres, pour être attelés au traîneau,
    dans un travail de groupes. Ils ont dû aussi dû apprendre à respecter la
    différence et prendre soin du petit Melchior. Un beau résultat qui tire les
    larmes du vieux renne fier de leur apprentissage.
    Durant les répétitions, les rennes tirent le traîneau, comme un seul corps.
    « C’est magnifique » pense le père noël, deux larmes précieuses coulent de

    ses yeux et se coagulent dans la neige, telles deux pierres précieuses qui
    seront jetées sur terre par les nains nettoyeurs. Un cadeau pour celui qui va les
    trouver. Attention ce ne sont pas les larmes de crocodiles qui se changent
    comme cela en pierre précieuse, On serait tous riche. Non ce sont celles qui
    coulent en silence, qu’elles soient de joies ou de tristesse, elles doivent couler
    des yeux, comme des gouttes de sang sortant d’une blessure à peine ouverte.
    Aussi chaudes, que les gouttes d’eau qui ont traversé une rivière sous les pieds
    d’un volcan. Au contact de la neige elles se cristallisent en lancent des
    étincelles, comme le font les étoiles du fond de la nuit céleste.
    Bon, les petits rennes sont prêts à partir. Ils crient en coeur « allez Père Noël,
    c’est l’heure ».
    Et la veille de cette belle nuit de noël, les petits nains avaient préparés les
    rennes impatient, lavés, brossés, parfumés au bois de santal. Jusqu’aux ongles
    des pieds nettoyés avec des aiguilles de sapins. Les rennes ont été décorés
    comme des sapins de noël et des milliers de petites lampes ont été cachées
    dans leurs capes de satin rouge bordé de fourrure, qui illuminent la nuit.
    Cette nuit s’annonce magique. La meute était bien organise, car chaque
    nouveau renne est attelé a côté d’un Renne plus ancien.
    Le petit Rennes sous sont bonnet de bois heureux d’être seul devant, car sont
    renne, un gâteux, était un vrai chameau, pas commode, c’est un
    perfectionniste, il lui lançait des grognements et des coups de pattes sur le
    côté pour le faire reste tranquille dans la file.
    Pas facile d’être attelé comme cela, ralenti par les autres, il est sûr qu’à lui
    seul, il ferait le travail toute la nuit sans éprouver de fatigue. Mais bon le Père
    Noël conte sur lui. Et le traîneau aux yeux des enfants, c’est tout un symbole, il
    ne peut pas être seul. Il restera tranquille, et montera à la hauteur de ces bois.
    Le Père Noël est heureux, il fredonne un air ancien, une vieille chanson qui
    parle du temps très ancien où le Père Fouetard s’occupait des enfants sots en
    leurs volant leur jouets et leur offrait à la place un martinet.
    C’est grâce au père noël, que le Père Fouetard n’a plus le droit d’aller sur terre
    durant toutes ses dernières années. Il lui a fait rater son diplôme de traîneau
    en jetant sous ses lames de bois du gros sel. Mais c’est un secret. Il faut se
    méfier, le Père Fouetard peut se représenter.
    Pour l’instant on lui a confié un poste, il doit replanter tous les sapins coupé la
    nuit de noël au travers du monde.
    Avant, on est obligé de parler d’avant, car il était interdit de couper les sapins il
    fallait les prendre dans la forêt et les replanter dans son jardin.
    Mais avant les enfants entendaient pleurer dans leur dedans, quand on les
    coupait avec une scie, il y voyait leur larmes épaisses que l’on appel la sève.
    Ils pouvaient imaginer leur souffrance, avec planter dans leur chair, une croix
    en bois clouer ! Ils les voyaient se tenir, malgré la douleur, debout décorée de
    plein, d’étoiles. Et quand les enfants tiraient sur le branches, pour voler les
    boules de chocolat, ou les décorations de pain d’épices ! Il ne fallait pas
    vaciller. C’est triste quand même , quand les écailles commence à tomber, ça
    marque la fin des fêtes c’est Noël qui s’en vont, sur le point des pieds .

    le Père Noël n’est plus seul à voyager dans le ciel, de plus en plus d’avions
    circulent, il n’est pas à l’abri d’une collision. Il est obligé de faire sa course
    encore plus haut dans le ciel.
    Dans l’espace, il est confronté à une vraie déchèterie avec un nombre
    considérable d’engins de toute sortes.
    Les nains, fossoyeurs ont bien du travail, ils jettent ces déchets sur terre par
    les trous d’ozones, afin que ceux-ci tombent dans les océans et débarrassent
    les lieux. les humains les prends pour des étoiles filantes , mais ces déchets
    font aussi nourrir les océans !!!! personnes à ce jour m’a la solution ! Peut être
    que la rouille en auras raison
    Alors le permis de le conduire c’est sérieux, pour le père noël !
    Dans ce ciel il y a aussi d’autres obstacles, personne ne s’en rend compte :
    mais les météorites sont pires que des icebergs, ce sont les enfants terribles
    du ciel, ils jouent à cache-cache entre eux. A tout moment ils peuvent surgir et
    renversent un traîneau.
    Le père Noël préfère de loin les nuages qui lui offrent des chemins paisibles
    avec des paysages magnifiques jamais inégalés sur terre.
    Imaginez un seul instant, un désert coton ou résonnent les clochettes du
    traineau, qui se faufilé entre des montagnes blanches, glisse sur lacs hérissés
    ou se baignent les étoiles, disparait dans des couleurs qui font pâlir de
    jalousie les aurores boréales.
    Le Père noël ne s’ennuie jamais, la lune lui éclaire le chemin comme une
    lanterne qui tend ces bras sous une voûte céleste. Elle le guide aussi bien que
    l’étoile du berger, surnommé l’Astre béni des marins.
    Il doit faire de cette nuit, une nuit magnifique, car tous les anges ont les yeux
    braqués sur lui. Et s’il y a une erreur, ce sera à cause de Melchior, parie le père
    noël.
    Car un Renne né sans bois, c’est un mauvais présage disent les anges.
    Les anges sont comme les vieux professeurs d’école qui n’aiment rien changer
    et gardent jalousement des chapeaux sur des lettres pour rien du tout.
    Ils sont sensibles, le surnaturel leur appartient et ils tiennent absolument à
    l’ordre des choses.
    On croirait que sous leurs ailes blanches, ils sont tout poésie, et bien non, ils
    ont peur des mauvais sorts. Alors Melchior, pour eux, ce n’est pas un bon
    présage. Il fera virer le traîneau, capoter la distribution, au pire briser le cou de
    père Noël.
    Les rennes sont prêts, le Père Noël à réussie sont permit, Melchior à des bois
    « tout va bien» pense le Père Noël .
    Les anges sont déjà détendue sur terre, ils se sont dissimulés dans les
    cheminées, dans le givre des fenêtres, les cages d’oiseaux désertées. Car ils
    n’ont pas le droit de rentrer dans les maisons. Mais ils doivent enregistrer ,
    toutes les prières de la nuit, et le porter au font du ciel, en secret.
    Les prières c’est comme des lettres, elles ne vont pas toutes à la même
    adresses.

    Appelfish est un ange ambitieux, il est déjà furieux, car il voudrait être père
    noël, et il rêve qu’un jour ce sera son tour d’aller sous les sapins pour voir les
    enfants ouvrir les cadeaux.
    Dans chaque maison, il pourra caresser des tas de petits anges sans ailes, et
    souffler dans leur marine des poussières de rêve. Ah non cela il ne pourra plus,
    c’est réservé au marchand de sable.
    Pas le temps de rêver, les anges ont beaucoup de travail, ils doivent faire
    sonner les cloches des églises à minuit pile ! Tous en même temps, un sur
    chaque clochés des églises.
    Appelfish, sait dans son for intérieur que ce n’est sont heure, mais il espère
    tout de même. Il n’a pas le droit de tricher, il serait disqualifié pour toujours, les
    anges n’ont pas le droit de mentir. En attendant, il a le devoir d’aider le Père
    Noël dans tous les domaines si celui-ci lui demande un service.
    Si un petit renne se cassait la patte, il deviendrait cette patte ! C’est une
    image, car il le porterait sur son dos en courant attacher au traîneau.
    Le rennes qui veulent l’agacer l’appel « roue de secours » pas de chance pour
    lui, mais il a gagner sa place au tirage au sort de cette année.
    Conduire un traîneau c’est dangereux , il peut glisser sur la neige, mais
    Applefish donnerait ses ailes à couper, pour remplacer le père Noel
    Le Père Noël est fier car sa nuit promet d’être la plus belle de toutes ses
    années. Il se sent d’humeur à glisser sur les nuages comme une danseuse de
    patin à glace.
    Il fait la liste dans sa tête de tout ce qu’il doit faire vérifier son traîneau, s’il
    est bien attelé. Contrôler les pattes de chaque renne, voir si les licols ne les
    blessent pas, contrôler que leurs oreilles soient bien propres, car les ordres
    doivent être bien entendus.
    Et le moment auquel le père noël tient le plus, c’est quand il s’assoit dans son
    traîneau après avoir embrassé tous ses nains, un par un, sans en oublier un, et
    qu’il tire sur ses pieds les couvertures de fourrures, tirant par les oreilles le
    nain qui s’est caché. Les rennes en main, sous les acclamations des nains qui
    se sont donnés tellement de peine pour vivre ce jour magique. Leur plus beau
    cadeau du monde pour eux, la plus belle récompense pour les nains.
    Pour le père Noël le plus grand bonheur c’est de prononcer, la phrase magique
    qui le fera passer en vitesse supersonique. Jamais de mémoire de lutin,
    quelqu’un peut dire avoir entendu cette phase pourtant crier à l’unisson. C’est
    un secret , un code !
    Appelfish a beau tendre l’oreille !! Impossible de le déchiffrer
    Sur terre, les anges, doivent surveiller, certains enfants sont malins luttent
    contre le sommeil sous un faux bonnet de Père Noël juste pour l’apercevoir,
    mais les anges du sommeil veillent et les entraînent par le bout du nez aux
    pays des rêves. Alors les cheminées complices, étouffent les dernières braises
    pour ne pas brûler la barbe du Père Noël.
    Que fait t’il quand il y a pas de cheminer ! les anges, lui trouvent des astuces !

    Celui-ci, est enfin prêt, il a failli partir en pantoufles, mais où sont ses bottes
    qu’il avait mis au chaud devant les flemmes de la cheminée qui rêvent chaque
    année de les lui croquer ?
    les nains courent de partout et cherche désespérément
    S’ils ne trouve pas les bottes, il n’y aura pas de noël. Tous vont accuser, le petit
    renne et lui va croire que c’est de faute !!! les enfants n’auront plus confiance à
    rien :
    Le magie de Noël c’est important pour enterrée les mauvais moments de
    l’année dans toutes les familles. Non, non, c’est n’est pas possible !
    Je suis foutu dit le père Noël, fâché il s’en prend aux flammes de sa cheminée
    les a t’elle bouffées ses bottes ! Non elle n’aurait pas osé, Il cherche dans la
    braise encore chaude, rien qui peut les accuser.
    C’est une véritable catastrophe, alerte générale ! dans la fabrique c’est la
    panique,
    les nains qui jouaient avec les derniers jouets comme de coutume accourent
    aux cris de détresse du Père Noël.
    Faut-il démonter tous les paquets pour voir si elles y ont été emballées ?
    Ce n’est pas possible de les réveiller. Ce serait une vraie pantomime. Et les
    jouets qui refuseraient d’être ré emballer.
    Si elles étaient enfermées pas erreur dans un paquet, elles nous le diraient. La
    seule explication serait qu’un petit garçon les ait commandées.
    Mais ce n’est pas possible non plus. Aucun enfant de vie de Père Noël n’a rêvé,
    d’un noël pour lui seul.
    Allez réviser les listes de commandes : Dans l’atelier on dirait que toutes les
    années sont empilées comme des pages de calendrier depuis l’antiquité. Tout
    est répertorié dans l’ordinateur ça ne prendra qu’une heure.
    Et le verdict tombe vite, seul un petit garçon n’a pas commandé de jouet !
    Depuis trois années.
    L’enquête démontre que c’est son père qui refuse car il est trop malheureux
    depuis que la maman du petit a rejoint le paradis la nuit même de Noël. Il ne
    croit plus à rien.
    C’est triste dit le père noël, mais je ne peux malheureusement rien faire!
    « Bon arrêtez de vous rendre triste ! c’est aux anges de s’occuper de ces
    dossiers, je vais les informer. Pensez à tous ceux qui m’attendeEt pour
    l’instant la priorité est à mes bottes, allez chercher. Si le jour arrive avant que
    j’ai distribué mes jouets, il n’y aura plus jamais de noël sanglote le père noël »
    effondré dans son fauteuil.
    Quand tout à coup deux petits nains s’accrochent à ses genoux ! Mais, c’est
    Nounours ! Avec les bottes du père noël qui lui remonte jusqu’au menton.
    Mais que voulait’ il en faire.
    Bredouille il raconte entre des sanglots qu’il veut aller sur terre pour se faire
    aimer, voilà des années et des années qu’il n’a pas été commandées. Il se sent
    abandonné !

    Il sait que les jouets disparaissent un jour, brûlé comme du vieux bois pour être
    remplacé par des jouets rutilants qui ne valent pas un clou.
    Le Père noël n’a jamais été confronté à ce problème ça tombe mal. Il récupère
    ses bottes les enfilent, et là tout coule de source, il pense à ce petit garçon pas
    exigeant qui n’a jamais vu de cadeaux depuis des lustres et ce petit nounours
    qui a rendu heureux tellement d’enfants sur terre c’est une aubaine. C’est pour
    cela qu’il est Père noël.
    Le père noël appelle, l’ange Apolphif et lui parle à l’oreille, ce qu’ils se sont
    dits, nul ne le saura jamais.
    Mais Nounours est accompagné par l’ange aux portes du paradis, « voilà dit-il à
    Nounous tout confus, tu dois sauter sur terre, tu as quelques heures pour te
    faire aimer. sans quoi ! tu est mort ! Tu as jusqu’à minuit. Et quand les
    cloches vont sonner si tu n’est pas aimé, tu devras rester sur terre pour
    l’éternité et nul peu te dire ce que tu deviendras, les enfants c’est ingrat tu
    sais.
    Je ne connais aucun enfant qui a gardé son ours longtemps, tu aurais dû rester
    à ta place, tu aurais sans doute fini dans la bibliothèque des collections du
    Père noël, a cause de tous les enfants que tu as consoler et les larmes que tu
    as épongé. « bonne chance ». et Apolpif le pousse violemment ! il a peur, il
    tourbillonne , de plus en plus vite ! Cela semble un éternité. Il se sent
    écarteler , tirailler.
    Puis comme une grande gifle, il s’écrase de tout son long sur le parquet froid
    d’un grand magasin ! Il est tout secouer, égratigné, il a mal de partout, et tout à
    coup il voit des bottes, des bottes qui le bottent, le bousculent comme un
    panier d’œufs assis sur une bicyclette ?
    Il est écrasé, injecté, propulsé, comprimé, piétiné par des bottes toujours des
    bottes de toutes les sortes et les couleurs et de toutes grandeurs, des
    crotteuses aux neuves, avec des fourrures, sans aucun doute , des peaux de
    Nounours ! Il y en a des rapides, des traînardes.
    Il y a plein de traîneaux en fer, froid pas décorer, l’un deux, roule sur lui,
    l’écrase, il cri mais personne ne l’entent.
    il a l’impression d’être enroulé étiré de tout son corps autour de le roulette qui
    le sert comme dans l’étau de la machine à policer du Père Noël. Il vient d’être
    avalé par une roue.
    Il crie mais personne ne l’entend, il perd un bout de son nez et une oreille. Son
    écharpe va l’étrangler. La roue s’arrête et il est arraché brutalement de
    l’acier, par une main d’ogre énorme.
    C’est le vigile, d’un grand magasin, faut pas être malin pour atterrir dans la
    gueule d’un tigre ! « allez vient ici » et bien ! quel tête !!! on dirait un éponge de
    mer qui a fait sont temps !!
    Il est secouer de tous cotés, comme une vielle carpette mouillée.
    Bon ça commence bien ce voyage dans le monde !
    Suspendu dans des griffes à bout de bras, nounours voit tous ces beaux jouets
    alignés sur des kilomètres et des kilomètres de rayons. Il voit aussi les
    cadeaux s’empiler dans les chariots. il se demande pourquoi !!!! peut être que le

    père noël se simplifie bien la vie. A moins que certaine commande tombe là,
    pour les enfants qui n’ont plus de cheminée.
    Il en est tout perturbé, quand il est jeté dans le fond d’un vestiaire. Il entend les
    verrous se refermer. Il va mourir là, seul au monde, c’est fini l’aventure pour un
    petit Nounours à la recherche d’amour .
    Puis, quelque heure plus tard, la porte du vestiaire s’ouvre enfin, il est tiré
    comme un prisonnier et jeter dans le lits entre des bras chaud, il aperçoit les
    grands yeux d’un enfants qui s’entrouvre !!! il à tellement peur, qu’il s’enfuie et
    se cacher sous le lit il
    au milieu de plein mouchoirs qui semble avoir essuyé toutes les larmes du
    monde.
    « Vient pas ici dit une voie douce, on l’attrape par le cou !! On le pose sur un
    coussin moelleux, fatiguer Nounours s’y s’endort.
    Quant il se réveille Nounours essaie d’imaginer où il est tombé, mais très peu
    d’éléments peuvent l’aider, il n’y a aucun jouet dans cette pièce, pas sapin, n’y
    de cheminer.
    Un petit garçon le regarde ! c’est le petit Nicolas, qui le tient tendrement dans
    ses bras
    Oh qu’il est mignon avec ses cheveux roux qui chatouillent, et ses taches sur
    sont visage, dans ses yeux, il y a une tendresse idéçcriptible, Nounours est
    rassuré, il a peut être une chance de se faire aimer.
    Nicolas le tend a un grand homme qui arrive dans la chambre, avec un plateau
    de déjeuner magnifique qui sent bon l’enfance. Des belles brioches au beurre,
    un jus de mandarine avec une paille qui clignote et un beau fromage blanc que
    Nicolas dévore sous les caresses admiratives de son père.
    Nounours se fait tout petit, il reconnaît le vigile du grand magasin qu’il avait
    pris pour un ogre.
    Il reste de marbre assis sur le lit, il a le cœur serrez comme une momie, son
    nez le pique. Il sent des larmes venir devant temps de mots câlins
    Le grand vigile s’occupe toute la journée ainsi de son fils. et celui -ci a attacher
    nounours dans sont dos.
    Nounours va même découvrir un atelier particulier, avec plein d’étagères où
    des jouets sont rangés, après avoir été réparés, certains ont des béquilles à la
    place des jambes. Les morsures de chiens ont été désinfectées.
    -« Papa Regarde », dit Nicolas, en tournant le dos « le Père Noël nous a confié
    une autre mission, il faut que nous nous occupant de nounous,
    Le grand bonhomme sourit tire Nounours et le met sur ses genoux, le caresse,
    regarde les blessures puis prend une énorme aiguille et en douceur recoud
    l’oreille et le nez de Nounours, qu’il avait caché dans sa poche. Nounours ne
    sent vraiment aucune douleur et sous le mercurochrome il devient tout en
    couleur. Quel bonheur !
    Il n’a jamais ressenti autant d’amour. Pour lui c’est un sentiment nouveau où il
    se pose des questions :

    -Mais comment sait-on que l’on nous aime pense le petit nounours, en cachette,
    nounours fait une prière aux anges.
    Tout à coup sur le bord de la fenêtre, un ange. Un bel ange magnifique à la
    chevelure dorée. La fenêtre s’ouvre et invite le vent à balayer sous le lit pour
    récupérer tous les mouchoirs donc les messages et les prières vont s’imprimer
    sur le tissu de la robe blanche de l’ange pour y demeurer à tous jamais
    secrets. L’ange disparais avec tous le chagrin de cette maison, et le fenêtre se
    referme.
    Seul nounours la vu ! et devant sont minois sursis , Nicolas rie de bon, ça fait
    des année qu’il a pas rie comme cela.
    Nounours a tous compris et ne peut retenir des larmes de bonheur, et petit
    Nicolas le prend dans ses bras, et l’embrasse et le sert nounours tout contre
    son cœur,
    Nicolas embrasse nounours sur son petit nez ficelé de laine dorée. D’un coup
    celui-ci se répare comme par magie. Surpris Nicolas lui embrasse les oreilles
    du coup c’est pareil. Nicolas l’embrasse de partout il dévient tout doux, tout
    neuf. Nounours est sauvé, les cloches sonnent juste à ce moment.
    Quand le Père Noël pointe son nez discrètement dans la maisonnée , il reste
    cacher et admire, le petit garçon qui berce ses bras un petit nounours. Tout
    neuf.
    Mais il se rend compte que les fardeaux de malheurs que porte l’ange est
    tellement lourde que l’ange m’arrive pas a s’en voler , Alors le Père Noël,
    appelle Apolsfich à son secours, à deux ils vont le remonter le sac et le jeter
    dans un trou noir.
    Le Père Noël sait qu’ici dans cette maison, on n’aura plus besoin de son coup
    de pouce et la complicité des anges.
    Son regard est attiré, par un autre énorme sac, marqué à son non, « père
    Noël » intriguer il s’en approche et prends le lettre accroché. Il lit ces
    quelques lignes :
    Cher Père Noël,
    Mon père et moi, on a réparés tous ces jouets, donne les sur ta route, aux
    enfants, qui n’ont pas de maison. C’est notre plus beau cadeaux. Je garde
    juste Nounours que j’aime très fort.
    Père Noël a ainsi reçu son plus beau cadeau, un signe que Noël n’est pas
    encore fini. Un dernier regard amuser à nounours qui a gagner sont retour
    parmi les milliers de jouets

    De Sylvette Pagan

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