Aujourd’hui, Ocarina réserve sa chanson de la semaine à sa saison préférée, l’été ! Écoutons donc Summertime, interprétée par Janis Joplin, la reine du blues et l’une des chanteuses les plus influentes de l’histoire de la musique contemporaine. Composée par George Gershwin pour l’opéra Porgy and Bess en 1935, Summertime est considérée par beaucoup comme une berceuse intemporelle, bluesy et douce, qui va droit au cœur.
Le compositeur et chanteur Alexis Kochan a avancé l’hypothèse que la mélodie aurait été inspirée par une berceuse originaire d’Ukraine appelée “Oi Khodyt Son Kolo Vikon”, littéralement “Un rêve passe par la fenêtre”.
Le compositeur et chanteur Alexis Kochan a avancé l’hypothèse que la mélodie aurait été inspirée par une berceuse originaire d’Ukraine appelée “Oi Khodyt Son Kolo Vikon”, littéralement “Un rêve passe par la fenêtre”.
Gershwin aurait entendu la symphonie lors d’une représentation à New York du Ukrainian National Choir. Le texte est une berceuse dans laquelle le chanteur rassure un enfant sur le présent et l’avenir.
Les reprises de Summertime sont si nombreuses qu’elle dispute à Yesterday des Beatles le titre de chanson la plus souvent réinterprétée. On connaît des versions de jazz, de blues, de pop, de rock, de hip-hop et même de reggae. Il y a de belles versions d’Ella Fitzgerald, de Nina Simone, de Frank Sinatra, etc.
Mais l’interprétation qui nous est la plus chère est sans doute celle de Janis Joplin, qui se caractérise par un style blues-rock et des arrangements significatifs de l’intro et du solo. La plus belle version est sans doute celle qu’elle a interprétée au festival de Woodstock en 1969, peu avant sa disparition prématurée.
Nous vous la proposons ci-dessous.
Les reprises de Summertime sont si nombreuses qu’elle dispute à Yesterday des Beatles le titre de chanson la plus souvent réinterprétée. On connaît des versions de jazz, de blues, de pop, de rock, de hip-hop et même de reggae. Il y a de belles versions d’Ella Fitzgerald, de Nina Simone, de Frank Sinatra, etc.
Mais l’interprétation qui nous est la plus chère est sans doute celle de Janis Joplin, qui se caractérise par un style blues-rock et des arrangements significatifs de l’intro et du solo. La plus belle version est sans doute celle qu’elle a interprétée au festival de Woodstock en 1969, peu avant sa disparition prématurée.
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